LECON DE BONNE MANIERE
J’habitais en Province. Marie-Charlotte était une bourgeoise typique de cette ville huppée. Forcément avec un nom pareil !
J’aimais son corps svelte, elle aimait ma queue épaisse.
Je la baisais dans les toilettes de la grande villa de ses parents.
Régulièrement.
Penchée sur le petit lavabo, je la prenais en levrette. Je regardais dans le miroir de courtoisie ses traits se crisper quand la jouissance montait en elle. Elle me demandait de ne pas jouir car elle voulait me sentir venir dans sa bouche. Elle me suçait avec un réel plaisir et se délectait de mon sperme. Elle avait un réel attrait pour ma semence. Parfois je jouissais sur ses seins. Elle étalait alors mes trais nacrés qui séchaient rapidement sur ses petits globes de sportive et se léchait les doigts avant de se réajuster et aller boire le thé avec les amies de sa mère qu’elle avait laissées sous un prétexte quelconque.
Le petit doigt en l’air. Elle buvait toujours le thé avec le petit doigt en l’air.