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ZORG
8 septembre 2008

Oh BONNE MERE !!!

fesses_smallElle avait des pensées libertines et elle conservait au fond de son sac un article découpé dans Biba sur la sodomie qu’elle rêvait de connaître un jour. Elle regardait des films X quand son mari était en déplacement  et avait un très bon ami qui lui racontait ses vendredi soir dans les clubs chauds de sa ville.

En venant à ma rencontre, elle pensait rencontrer un ingénieur binoclard, coincé entre boulot et famille à qui elle apporterait un peu de fantaisie sexuelle.

Tout ça elle me l’avouera plus tard.

A l’instant précis elle ne pense pas à ça. A vrai dire elle ne pense plus. Elle jouit de plaisirs nouveaux en émettant des sons divers et variés.

Il y a quelques instants encore elle s’émerveillait du temps qu’il fait en automne à Marseille. Elle avait découvert la terrasse de mon appartement face à notre dame de la garde. Un mur à gauche, un mur à droite. A l’arrière des tuiles. Par devant des tuiles surmontées du regard protecteur de la sainte vierge dorée à l’or fin.

Elle avait commenté la terrasse avec joie. Les canapés bas qui garnissaient tout un coin, la grande table en zellige, l’audacieux système de bâches et de câbles fixés au mur, offrant une protection au soleil ou à la pluie et faisant de cet espace peu commun une luxueuse retraite propice à savourer le temps qui passe.

Elle s’était accoudée à la rambarde, offrant son visage au soleil et son abricot à mon appétit de fin d’été. Le mois de septembre est aphrodisiaque et je la pris sans qu’elle ait besoin d’en rajouter. Je la baisais aussi profondément que je l’aimais en cet instant précis car pour moi l’amour est un sentiment fugace révélé par la relation sexuelle.

Je la baisais en contemplant sa géographie corporelle avec délectation. Tout était fin en elle. Son visage, ses chevilles, ses hanches, ses bras, ses mains. Ses mains qui encore plus que les contractions de son vagin me laissaient comprendre ses jouissances et leurs ampleurs. Telles des araignées chaussées de rouges, elle se tordaient, se détendaient, se crispaient, s’accrochaient à la rambarde ou se posaient sur le mur en exprimant toute la palette des sensations qui parcouraient son corps et son âme.

Entre deux accès de jouissance elle disait que le regard protecteur de la bonne mère conférait un caractère sacré à ce plaisir là.

Moi, ce n’était pas le regard de la bonne mère qui appelait mon plaisir, mais celui de son œil de bronze qui me contemplait tout luisant de désir entre ses fesses remontées par les talons qu’elle n’avait pas eu le temps d’enlever.

Elle arrêta de parler quand j’écartais les globes dorés de ses fesses et que je fis couler le lubrifiant pour mieux caresser la source des plaisirs adultes les plus raffinés. Elle s’appliquait à se détendre quand j’appliquais mon envie à l’entrée de son orifice le plus étroit. Avec toute ma délicatesse, ma patience et la moitié du tube de lubrifiant, mon gland avait disparu en elle depuis quelques minutes déjà. Elle gémissait de plaisir jusqu’alors inconnus et pourtant la dernière porte de ses muscles circulaires n’était pas encore passée.
Rompant sur la douceur je portais alors un coup de rein sec et inattendu qui lui fit accepter dans un cri ambigu la première sodomie de sa vie. Elle se redressa et incrédule me demanda si j’étais bien en elle, bien au fond de son cul. Je lui certifiais l’affirmative.

Et s’est ainsi, sous le triple regard de la bonne mère, du soleil Marseillais de septembre et du votre, ami (e) lecteur (rice), que tel l’ami serge, je vais et je viens au creux de ses reins et qu'elle ne pense plus et jouit en émettant des sons divers et variés.

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Commentaires
Z
@ AàT : et pourtant, pas de froid entre nous !<br /> <br /> @ Fiso : des mirabelles dis-tu. faudra que je goutte...<br /> <br /> @ Gicerilla : au nom des paires, de fesses et des seins j'ai pris... j'ai tout pris
G
Dites donc Zorg, invoquer la Bonne mère dans ce cas là, c'est pas un peu du blasphème ? Vous me direz trois ave et cinq pater...
F
Mouais, enfin, moi, les abricots que j'ai bouffés cet été, ils étaient dégueulasses, et même dans le Sud ! <br /> En revanche, les mirabelles ... <br /> ;)
A
Avec du gel, petite joueuse :)
Z
@ Fiso : Le dernier mois de l'été est celui des fruits mûrs, prêts à cueillir...<br /> <br /> @ Brune piquante : ...mais pas jalouse. kiss
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pour ceux qui n'aiment pas les spectacles de maris honnêtes et qui préfèrent les spectacles de maris au net
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