AIR FRAIS

Ouvrons les fenêtres et faisons rentrer de l’air frais. Partons à la chasse à la poussière pour ne plus tousser. Jetons quelques livres qui en retiennent vraiment trop : La bible, le coran et tous leurs frères, commentaires et dérivés.

Avec une paire de ciseaux libérons le mot « amour » de ses faux frères « unique » et « toujours ». Donnons lui la possibilité d’être pluriel (et féminin !!) et temporaire.

Prenons une balance. Posons « l’âme » sur un plateau et « le corps » sur l’autre et équilibrons le tout. Surtout, surtout, arrêtons de penser que le corps ne pèse rien.

Prenons deux libertés et unissons les sans jamais les fusionner ni les aliéner l’une à l’autre.

Cultivons les jardins secrets et la tolérance.

Ceci ayant été fait, imaginons une vie légère. Sans patos. Faite de partage et de respect, de l’ivresse du corps qui exulte, de la joie des enfants qui grandissent et du temps qui passe, et aussi du plaisir de la relation qui dure. Et peu importe si cela ce passe avec l’un ou avec l’autre.

Et peut être que la magie de la vie opérera : des amants fidèles, des conjoints qui hurlent de plaisir…

Comments

[Sorgina]

Je suis toujours partante pour une soirée au bord de l'eau ! ^^

[ZORG]

@ Sorgina : Salut petite sorcière basque. Tu es de retour ? Bonne année et peu être à un de ces jour au bord de l'eau pour profiter d'une soirée d'été...

[Sorgina]

Whaou ! Si ça c'est pas des souhaits de Bonne année bien ficelés !!!

Ça donne envie de hurler à la Lune tout ça !
(Hurler de joie bien sûr...)

[Bougrenette]

Pas convaincue, l'air frais peut vite devenir un rien glacial à ce que je peux en voir d'ici de là, mais après tout faut voir.

[ZORG]

@ Gicerilla : On peut aussi imaginer l'amour brûlant au sein du couple ET la liberté à l'extérieur. Personnellement j’aime bien cette idée.

@ M. : oui, faisons les hennir…

@ CUI : au boulot !!!

@ lointain rivage : c’est malin, j’ai maintenant du Moustaki dans la tête.
http://www.youtube.com/watch?v=G4TBlPc18SM

@ MarieMouillette : tu me connais : des fraises, des fraises toujours des fraises